Serviable et rempli de bonne volonté, le Gowap intervient à tort et à travers pour la plus grande joie des lecteurs. Son estomac à toute épreuve digère aussi bien un parapluie, de préférence fermé tout de même, qu'un réveil pour jouer au crocodile de Peter Pan ou un ventilateur. Dans cette famille un peu folle, de strip en strip, la fillette poursuit ses lectures ésotériques et la mère, snobinette bourgeoise, ses fantasmes. Des gags (image, strip ou planche entière) dont les thèmes ont quelques difficultés à se renouveler. Par ailleurs, on peut déplorer que les auteurs fassent de la démagogie en ridiculisant systématiquement les parents. Une nouvelle série qui ne tient pas tout à fait les promesses du premier album.

Sensible, primesautier, affectueux, le Gowap, sorte de dinosaurien possédant un côté chien-chien, multiplie les gags et les gaffes.

Revoici Gowap, ce spécimen unique de dinosaure dans de nouveaux gags. Pour Hubert et Elvire, le couple BCBG chez lequel il vit, c'est très tendance d'avoir un pensionnaire aussi peu commun, bien que leur pavillon ne soit pas adapté à ses maladresses.

Comme une tempête, le Gowap dévaste gentiment la maison et la vie de Géraldine. Le dinosaure désopilant aligne en effet maladresse sur maladresse et gaffe sur gaffe.

Comme une tempête, le Gowap dévaste gentiment la maison et la vie de Géraldine. Il multiplie les gaffes et les maladresses.

Comme une tempête, le Gowap dévaste gentiment la maison et la vie de Géraldine. Gowap aligne maladresse sur maladresse, gaffe sur gaffe.

Comme une tempête, le Gowap dévaste gentiment la maison et la vie de Géraldine. Le dinosaure désopilant fait gaffe sur gaffe.

Serviable et rempli de bonne volonté, le Gowap intervient à tort et à travers pour la plus grande joie des lecteurs. Son estomac à toute épreuve digère aussi bien un parapluie, de préférence fermé tout de même, qu'un réveil pour jouer au crocodile de Peter Pan ou un ventilateur. Dans cette famille un peu folle, de strip en strip, la fillette poursuit ses lectures ésotériques et la mère, snobinette bourgeoise, ses fantasmes. Des gags (image, strip ou planche entière) dont les thèmes ont quelques difficultés à se renouveler. Par ailleurs, on peut déplorer que les auteurs fassent de la démagogie en ridiculisant systématiquement les parents. Une nouvelle série qui ne tient pas tout à fait les promesses du premier album.