P. Lunel, qui a côtoyé l'abbé Pierre et soeur Emmanuelle, reste marqué moins par la dimension morale de leur action que par l'aptitude au bonheur dont ils faisaient preuve. En réponse à la quête du bonheur, il s'inspire de ses entretiens avec ces deux personnalités pour faire découvrir leur appréhension philosophique de l'existence.