"Agamemnon", la première pièce de "L'Orestie" d'Eschyle, est rééditée aujourd'hui. L'occasion de s'interroger sur la nécessité du tragique.

Dans le récit d'Homère, le père d'Iphigénie est le chef des Grecs, le roi désigné pour mener l'expédition contre Troie. Ce héros mythique semble bien inspiré de personnages réels, ces princes mycéniens de l'âge du Bronze, bâtisseurs de palais-forteresses dans tout le monde égéen.

Dès le début de l'été, la vie théâtrale se déplace vers les nombreux festivals ; parmi les établissements publics, seule la Comédie-Française poursuit son activité dans la salle Richelieu et, au rythme de l'alternance, offre la possibilité de voir, outre deux reprises, deux pièces récemment entrées au répertoire : ℗ Agamemnon ® de Sénèque, mis en scène par Denis Marleau, ℗ L'Opéra de quat'sous ® de Bertolt Brecht et Kurt Weill, par Laurent Pelly.