L'analyse d'ambres a mis en évidence une stratégie d'adaptation réussie chez les insectes : récolter des déchets pour se dissimuler de leurs prédateurs et de leurs proies.

Exercice strictement réservé aux paléoéthologistes amateurs.

Des insectes préservés dans l'ambre nous livrent des secrets de l'évolution.

L'analyse spectroscopique des matières exsudées par les végétaux actuels constitue le fondement d'une identification chimique et botanique des ambres et des autres résines fossiles.

Vingt-cinq ans de recherche et de travail furent nécessaires à la reconstitution du Salon d'ambre de Tsarskoïe Selo, en Russie, ce décor mythique constitué d'un demi-million de pièces, dérobés par la Wehrmacht et depuis disparu.

Une faune d'insectes de 100 millions d'années piégés dans de la résine ! Le gisement d'ambre fossilière découvert dans la région de Rochefort, en Charente-Maritime, est le plus ancien en France. Il abrite les plus vieilles fourmis connues sur Terre, un groupe d'araignées dont on ne possédait aucun fossile et d'autres surprises du genre... Ces insectes, qui grouillaient dans le sol d'une forêt, ont connu les dinosaures. Récit d'une enquête paléontologique.

L'ambre est une résine végétale fossilisée dans laquelle il est courant de retrouver des inclusions d'animaux ou de végétaux. Un film célèbre a imaginé que l'on pouvait extraire de ces inclusions de l'ADN très ancien mais conservé, pour recréer des animaux disparus. Fiction ou réalité ?