Découvert en Allemagne en 1999, le mystérieux disque de métal livre peu à peu son incroyable secret : voilà 3 600 ans, deux siècles avant les Mésopotamiens, des Européens ont su réaliser la première représentation connue de la voûte céleste.

L'énigmatique disque de Nebra, présenté comme la plus ancienne carte du ciel connue, est la vedette d'une exposition présentée à Mannheim.

Au premier coup d'oeil, le disque de Nebra montre un Soleil, la Lune et des étoiles. Une étude plus approfondie indique que les connaissances astronomiques sur la position des Pléiades servaient à établir un calendrier.

Le disque de Nebra, la première représentation du ciel européen, tel que le voyaient les hommes du début de l'âge du bronze il y a 3 600 ans, est une des principales découvertes archéologiques du XXe siècle.

Une étude très étayée, menée avec une astrophysicienne, a révélé une carte du ciel sur une célèbre cruche en bois celte. Elle confirme les hautes connaissances astrales que César attribuait aux Gaulois et notamment à leurs druides.

Les hommes du Néolithique ont érigé des ensembles de mégalithes, comme Stonehenge, Newgrange ou encore Carnac, orientés sur la course des astres. Mais leurs bâtisseurs étaient-ils réellement astronomes ? La découverte en Allemagne du plus ancien "observatoire" du monde relance le débat.

Sept mille ans avant les Pyramides, le temple de GŁobekli Tepe avait-il une vocation astronomique ? Son ancienneté et sa complexité posent autant de questions sur les débuts du Néolithique que sur nos préjugés...

Entre 5000 et 1000 av. J.-C., les hommes du néolithique et de l'âge du bronze ont construit de nombreux monuments de pierres levées, appelés monuments mégalithiques, partout autour du monde. Certains d'entre eux présentent des alignements remarquables avec des phénomènes astronomiques survenant le long de l'horizon. Nous allons en découvrir trois qui révèlent un lien fascinant avec les mouvements complexes de la Lune, prouvant que les hommes préhistoriques observaient attentivement le ciel.