A travers 160 oeuvres, l'exposition Les Promesses du passé présentée au Centre Pompidou explore la création artistique de l'ex-Europe de l'Est depuis l'après-guerre. Révolution du regard en perspective.

Iconnu il y a quelques années, des plasticiens originaires d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient se font depuis peu une place sur un marché toujours dominé par les signatures anglo-saxonnes et européennes.

Après l'art moderne au début du mois, l'art contemporain rejoint, à son tour, le firmament.

Plus de 13 millions d'euros ont été enregistrés pour l'historique collection Peter Stuyvesant qui a fait entrer l'art dans l'entreprise il y a cinquante ans.

Si les Français visitent en moyenne au moins une exposition ou un musée tous les ans, seuls 20% d'entre eux ont déjà acquis une oeuvre actuelle. Le sentiment envers l'art contemporain reste encore mitigé.

En dépit de quelques percées, les artistes africains n'ont pas encore la cote aux enchères.

Dans un contexte de crispation religieuse, une exposition audacieuse se penche sur les représentations du corps dans le monde arabe. Un prétexte pour aborder diverses questions existentielles comme l'identité, la souffrance, la solitude, le vieillissement, l'amour...

Destination prisée par les amateurs de grimpe, le désert Mojave est devenu le refuge de nombreux artistes, musiciens et architectes d'avant-garde. Ils ont fait de ce lieu un véritable musée d'art contemporain à ciel ouvert.

Les grandes ventes de New York affichent des chiffres toujours plus élevés, avec encore et toujours Andy Warhol.