Reconnus comme de bonnes copies anciennes par les experts, les deux tableaux découverts à Loches, témoignent des débuts du caravagisme en France.

Le Musée du Louvre et la RMB se livrent à une concurrence relevée par les magistrats de la Cour des comptes et les députés

Un éclairage fort intéressant sur l'influence que peuvent exercer les illustrations, au fil des éditions successives, sur notre réception d'un texte, ici le conte « la Barbe-Bleue » de Charles Perrault, revisité par Jean Claverie en 1991 chez Albin Michel et par Maurizio A.C. Quarello en 2010 chez Milan jeunesse. Mieux encore, Philippe Morlot met en évidence les citations explicites faites par ces deux illustrateurs à des oeuvres picturales qui réorientent toute l'interprétation de ce conte, en nous donnant envie d'y aller voir de plus près !

En étudiant les primitifs italiens, le palais Fesch interpelle le visiteur sur les notions d'original, de copie et de falsification.

Les faussaires, ces artistes capables d'imiter les plus grands maîtres et de tromper le monde de l'art, ont le vent en poupe. Longs métrages, documentaires, romans, biographies et même autobiographies, on ne compte plus le nombre de films et de livres qui vantent l'histoire de ces « escrocs mais pas trop ». Ils s'appellent John Myatt, Guy Ribes ou Wolfgang Beltracchi, sont faussaires, et fiers de l'être !

Carole Fritz, spécialiste d'art pariétal, participe aux rencontres scientifiques du Festival d'Avignon les 10 et 11 juillet 2017 dont " Sciences et Avenir " est partenaire.