En privilégiant l'intime et l'épique, le roman de Salim Bachi propose un scénario superbement humain du fondateur de l'islam

Après celui d'Ulysse, l'écrivain algérien Salim Bachi réinterprète le mythe de Sindbad le Marin. Dans une écriture poétique et incandescente qui tient en haleine jusqu'à la dernière ligne.

Le cinquième roman de Bachi confronte la quête de liberté et d'aventures d'un Sinbad moderne à l'agonie de son pays, l'Algérie.

Dans son sixième roman, l'écrivain algérien Salim Bachi fait de Sindbad la figure de l'exilé contemporain. Une fable ironique sur l'errance méditerranéenne d'un homme en quête d'amour et de vérité.

Nouvel uppercut de Salim Bachi, ″Moi, Khaled Kelkal″ est une plongée dans la conscience d'un terroriste. Une odyssée nihiliste, érudite et déroutante.

L'histoire d'Aristides de Sousa Mendes, consul du Portugal à Bordeaux en juin 1940, est peu connue. Quelques livres cités par Salim Bachi à la fin de son récit la rapportent. On ajoutera ce qu'en écrit Pierre Bayard dans "Aurais-je été résistant ou bourreau ?". Bachi a pris la voix de Mendes pour raconter cet été 1940 où tout a basculé.