Quand l'Anglais Julian Barnes imagine une variation romanesque sur la vie de Chostakovitch...

Julian Barnes met en scène une enquête digne de Sherlock Holmes qui mêle fiction et faits réels.

Le portrait empathique d'un génie contraint de porter, sous Staline, le masque de l'artiste officiel.

Julian Barnes est passé maître dans l'art de l'exercice de style qui consiste à masquer de subtiles explorations de l'âme humaine derrière de non moins élégants jeux de voix trop authentiques pour ne pas jouer de la parodie, trop parfaitement placés pour ne pas finalement sonner juste.

L'écrivain britannique a vu à Paris le film que la réalisatrice française vient de tirer de son roman. Premières impressions.

L'auteur du "Perroquet de Flaubert" pousse la francophilie jusqu'aux confins de l'anglophobie. Témoin quatorze chroniques désopilantes envoyées au "New Yorker".

Biographie romanesque du compositeur Dmitri Chostakovitch, "Le fracas du temps" de Julian Barnes est d'abord un grand livre sur la permanence de la tristesse.

Avec "Dix ans après", le romancier britanique donne une suite brillante à "Love, etc."

Où l'on voit l'auteur du "Perroquet de Flaubert" mitonner le saumon aux raisins secs et se battre avec des carottes Vichy.

L'auteur d'"Arthur et George" raconte comment, au début des années 1900, Conan Doyle a pris fait et cause pour un jeune avoué d'origine indienne que la justice anglaise avait, à tort, condamné. Passionnant.

Un homme, sa femme et son meilleur ami... Sur ce canevas classique revu et corrigé, avec une tendre ironie, par le romancier anglais, Julian Barnes, Marion Vernoux tourne son deuxième long métrage...