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Bauër, Gérard (1888-1967)

Article

Il n'y a plus rien de si stable qui entrait dans le journal comme on poussait la porte d'un salon où les amis vous attendaient pour jouer au billard. Le journal était un club en marge du travail officiel. On le retrouvait le soir avant d'aller se coucher. Se connaître, connaître le monde, les autres, se déroulait comme suivant une partition. On en a une très bonne idée dans ce numéro, à la redécouverte du trop méconnu Gérard Bauër, figure familière du petit Paris mondain des années 30, qui signait Guermantes dans "Le Figaro".
Numéros de page :
pp.140-152