Pour reprendre un tube des Beatles, nul besoin de solliciter les chanteurs ou leurs héritiers. C'est une filiale de Sony qui détient la majeure partie des droits. Au grand dam de l'auteur de "Yesterday" qui espère toujours pouvoir les récupérer. Une histoire, où il est question de gros sous, d'optimisation fiscale et de trahison, qui pourrait connaître un nouveau rebondissement.

Hystérie collective, dépression post-séparation, théorie du complot, folie meurtrière... Si elle n'est pas répertoriée dans les manuels de psychiatrie, la Beatlemanian a tout d'un délire. Un trouble obsessionnel à tendance paranoïaque qui alimente les rumeurs les plus folles. Et auquel Internet donne un nouveau souffle.

Jusqu'au 20 août, "M" replonge dans l'ambiance de concerts mythiques. Quand les "Fab Four" entrent dans le Candlestick Park de San Francisco, le 29 août 1966, la foule est en délire. Pas un instant, elle ne se doute que la demi-heure de prestation qui suivra sera la dernière en public des gamins de Liverpool.

Conçu pour les besoins d'un spectacle nostalgique à Las Vegas, l'album "Love" amalgame et remixe quelques classiques des Fab Four. Caution historique du groupe, sir George justifie cette tambouille sonique de Noël.