Depuis des années, les chefs coutumiers réclamaient une reconnaissance de leur rôle et de leur influence. Aujourd'hui, le président Compaoré envisage de leur donner salaire et statut.

Alors que le pays semble avoir digéré sa révolution, le président Kaboré dispose encore de deux ans pour accélérer le rythme des réformes économiques et tenter de mettre un terme à la menace terroriste. Sommaire. Kaboré au milieu du gué. Paul Kaba Thiéba, premier ministre : "Le PNDES est ma boussole". Vie des partis : la Nafa s'y voit déjà. Tahirou Barry, ancien ministre de la culture : "J'ai préféré rester fidèle à mes engagements plutôt qu'à un chef d'Etat". Economie : test d'effort. Infrastructures : pleins feux sur l'énergie. Agrobusiness : l'horizon européen de Nafasa.

En Afrique, les masques ont d'abord une fonction religieuse. Au Burkina, un reporter a pu assister à leurs cérémonies rituelles généralement secrètes.