Depuis plusieurs années, les entreprises de capital-investissement, qui ont investi plus de 12,4 milliards d'euros en France en 2017, n'hésitent plus à investir davantage dans les sociétés répondant aux critères ESG (environnement, social et gouvernance) que dans les autres. Les enjeux financiers ne sont plus les seuls à être pris en compte et les engagements sociaux ou environnementaux des sociétés sont aussi des critères regardés.

Depuis la crise sanitaire de la Covid-19, les acteurs mondiaux du capital-investissement (ou private equity) travaillent à impulser davantage de transparence au sein du secteur. L’un des fondements du capital-investissement est de justifier des frais de gestion élevés car il surpasse de manière fiable les marchés boursiers sur de longues périodes. Mais des questions demeurent autour de la fragilité des données et des mesures internes de rendement du secteur. Analyse. Peu de chiffres.

La transition énergétique devient le sujet majeur de la décennie pour les investisseurs. En 2020, ils y ont consacré 500 milliards de dollars, soit deux fois plus qu'en 2010. De nombreuses entreprises se positionnent sur ce secteur via des applications variées, depuis les énergies renouvelables jusqu'aux véhicules électriques en passant par la viande végétale. Elles sont de plus en plus soutenues par un ensemble hétérogène d'acteurs englobant des fonds d'investissement, des spécialistes du private equity, des grandes entreprises, des ONG et même des Etats.

Les acteurs du capital-investissement s'avèrent de plus en plus puissants en 2021. Le groupe américain KKR représente par exemple 170 milliards de dollars, soit plus que certaines banques régionales, et plusieurs spécialistes du secteur se révèlent encore plus gros que lui. Au premier semestre 2021, les sociétés américaines de capital-investissement ont conclu pour 500 milliards de dollars de transactions, un niveau jamais atteint depuis 40 ans.

Le marché mondial du capital-investissement s'est montré très dynamique en 2021, avec plus de 13 000 transactions conclues sur les 11 premiers mois de l'année pour une valeur totale de 1 800 milliards de dollars. Une activité supérieure à celle des années précédentes. Ce boom reflète une exubérance générale et l'aboutissement d'un changement structurel dans la finance. Mais il est aussi une source de malaise, avec des valorisations de plus en plus élevées et une montée des risques. Explications et détails. Article extrait de "The Economist".

Les marchés boursiers continueront à chuter, a déclaré Marc Rowan, DG d’ Apollo Global lors de la conférence mondiale du Milken Institute, car l’inflation galopante fait des ravages dans l’économie mondiale et la Réserve fédérale américaine est obligée de réagir en augmentant les taux d’intérêt.

Membre du directoire d’Eurazeo, chargé notamment des investissements dans les PME, Olivier Millet défend le rôle économique mais aussi environnemental du capital-investissement. Entretien. Pas de chiffres.

Au sein du cabinet Hogan Lovells, ils ont joué un rôle clef lors de 21 opérations de plus d’un milliard d’euros réalisées au cours de ces dernières années. Peu de chiffres.

Réunis à Abidjan en avril, bailleurs de fonds et gestionnaires d'actifs se sont penchés sur l'avenir du private equity en Afrique. Une activité encore peu connue sur le continent, qui doit améliorer son image auprès des chefs d'entreprise et, demain, de l'opinion publique.

Récemment nommé à la tête de la nouvelle association ivoirienne des professionnels de ce métier, le fondateur de Phoenix Capital Management lève un nouveau fonds, son premier à neuf chiffres.

Après avoir réussi son expansion sectorielle, le conglomérat lance un fonds ouvert aux capitaux extérieurs. Sa cible : des leaders nationaux pouvant s'étendre en Afrique de l'Est.

Le pionnier du capital-investissement veut lever 150 millions d'euros en partenariat avec Cathay Capital Priva te Equity pour booster de jeunes pousses africaines.