Gérard Mordillat et Bartrand Rothé interrogent 21 chercheurs d'Europe, des États-Unis, de Chine et d'Afrique sur les concepts fondamentaux de l'économie : le travail, l'emploi, le salaire, le capital, le profit et le marché. (Electre)

Le terme de capitalisme a été forgé au XIXe siècle par des socialistes français et a très vite acquis une connotation péjorative au point que les auteurs libéraux lui préfère une expression plus neutre telle économie de marché . Ce livre éclaire les controverses actuelles à travers une analyse historique et l'étude deses relations avec le socialisme et la démocratie.

Cet essai revient sur la théorie des cycles, la responsabilité des politiques libérales dans la crise actuelle, les processus de mondialisation et la nouvelle architecture politique mondiale depuis la chute du mur de Berlin. Avec des propositions de sortie de crise et des fiches explicatives sur les innovations financières et les réponses des autorités monétaires et gouvernementales à la crise.

Les auteurs débattent d'un anticapitalisme pragmatique. Ils comparent le capitalisme à un système sorcier, c'est-à-dire un système qui s'invente en permanence et offre des alternatives infernales telles que "la demande d'une augmentation de salaire favorise la délocalisation et le chômage".

Essai sur l'économie de marché, sur le capitalisme, refusant la théorie accusatrice planant en temps de crise.

Partant de la thèse selon laquelle la guerre des capitalismes aura lieu, les auteurs analysent les menaces, les enjeux et les formes d'un tel conflit. Ils s'interrogent notamment sur la victoire du capitalisme anglo-saxon, abordent la globalisation financière, passent en revue les acteurs et proposent des pistes pour résoudre ce conflit futur.

Recueil de cinq conférences données à la Central European University de Budapest à travers lesquelles l'auteur expose les mécanismes de l'économie, leurs dérives et propose quelques pistes pour sortir de la crise. Il décrit l'influence des anticipations et des présupposés des acteurs financiers sur l'évolution des marchés et s'interroge sur la régulation de l'économie.

Une distance immense sépare l'économie de marché du citoyen lambda, pourtant les dysfonctionnements du premier touchent nécessairement l'économie réelle. C'est en partant de ce principe que l'auteur explique l'hypercapitalisme.

S'inscrivant dans la lignée de son précédent ouvrage,

Pour l'auteur, le monde connaît une crise de civilisation dont l'origine est masculine. Il décrit une économie de marché en évolution entretenant des liens privilégiés avec les valeurs dites féminines. Selon lui, un nouvel ordre se met en place. Une organisation basée sur la prudence, la mesure, la gestion des ressources et des savoirs. Des réponses aux enjeux économiques et sociaux.