Déjà considéré comme un classique de la littérature anglaise, « L'Observatoire », d'Edward Carey, ressort en Libretto. On y suit la vie monotone d'un vieux garçon habitant un manoir délabré habité par des freaks. Beckettien et surréaliste. Une réussite absolue.

Dans ″L'Observatoire″, Edwar Carey fait défiler une ménagerie de freaks. Ce roman loufoque et désopilant né d'une imagination échevelée est réédité en poche.

Dans des registres certes différents, deux Anglais vérifient un penchant communément associé à leur nation : le goût de l'incongru, le goût du bizarre ou du nonsense. D'un côté des ferrailleurs excentriques dans un univers gothique à la Tim Burton, de l'autre un professeur Tournesol élucidant tous les hasards.