A l'occasion du centenaire de la fin de la construction du palais (1912), cette monographie propose un nouveau regard sur l'oeuvre du facteur, en replaçant cette construction dans celle des grands projets de son époque (expositions universelles), et en focalisant l'analyse sur certains points de détail.

Ce recueil propose un regard sur le palais idéal de Ferdinand Cheval, facteur rural au XIXe siècle, qui, grâce aux pierres amassées pendant ses tournées, se fit créateur et bâtisseur. Le philosophe propose une réflexion sur cette oeuvre, sur l'esthétique de la marginalité révélant le pouvoir méconnu du rêve et de l'imagination de l'homme.