Aller au contenu principal

De Palma, Brian (1940-....) -- Entretiens

Article

couverture du document
Auteurs
Lion d'argent au Festival de Venise, son film "Redacted" parle de l'Irak, de You tube et suscite une controverse croissante aux Etats-Unis.
Numéros de page :
1 p. / p. 20

Article

couverture du document
Auteurs
Goldberg, Jacky Auteur du texte
Dans la famille des grands cinéastes américains, où ranger Brian De Palma ? Tour à tour réalisateur de films noirs ou fantastiques, inventeur de blockbusters ou adorateur d'Hitchcock, il sort aujourd'hui le splendide et rêche "Passion", loin du faste hollywoodien des années "Sarface" ou "Mission : Impossible". C'est un homme lucide sur lui-même et sur son époque, réfractaire à toute comédie sociale, qui raconte ici son cinéma et celui de ses contemporains.
Numéros de page :
10 p. / p. 30-39

Article

couverture du document
Première incursion en science-fiction, aventure, apesanteur, violence, parti pris de réalisme : Brian De Palma raconte et analyse la genèse de son 25e film, "Mission to Mars", hors compétition à Cannes.
Numéros de page :
/ p. 36-51

Article

couverture du document
Après la parenthèse de "Mission to Mars", Brian de Palma revient à une veine plus personnelle avec une rêverie autour du film noir, tournée entre Paris et Cannes.
Numéros de page :
/ p. 58-70

Article

couverture du document
Brian De Palma dans "Redacted" ne dénonce pas seulement la politique américaine au Moyen-Orient, il va plus loin en interrogeant notre rapport ambigu aux images.
Numéros de page :
6 p. / p. 66-71

Article

couverture du document
Auteurs
Baurez, Thomas Auteur du texte
Date parution pério
2013-02-01
A 72 ans, le réalisateur des cultes ″Phantom Of The Paradise″, ″Blow Out″ ou ″Scarface″, signe ″Passion″, un thriller glacé et féminin. Rencontre par écran interposé avec le maestro.
Numéros de page :
4 p. / p. 62-65

Article

couverture du document
Auteurs
Date parution pério
2013-02-01
La fenêtre Skype s'ouvre et Brian De Palma apparaît dans la lumière blanche d'un dimanche ensoleillé à New York, armé de sa légendaire bonne humeur qui a causé des sueurs froides à plus d'un interviewer... Jamais bien enclin à disserter sur son cinéma, comme souvent les grands cinéastes américains, il ne nous adressera qu'un seul regard, au moment d'en terminer avec cet entretien qui, surprise, aura duré plus longtemps que prévu.
Numéros de page :
6 p. / p. 64-69