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Déchets -- Collecte

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Il ne fait pas bon vivre dans les deux plus grandes métropoles françaises qui affichent un taux de saleté record. La faute à l'incivisme des habitants ou à l'incurie des municipalités ? Sommaire. Paris-Marseille, laquelle est la plus sale ? A Marseille, la saleté chronique gangrène la ville. La ville Lumière ne brille pas par sa propreté.
Numéros de page :
pp.24-29

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L'une des mesures phares de La Loi "économie circulaire" du 10 février 2020 est la création et l'extension du périmètre des filières "responsabilité élargie des producteurs". La Loi fixe de nouveaux objectifs (quantitatifs et qualificatifs) précis et chiffrés, adaptés à chaque filière. Ces nouveaux objectifs sont à valeur contraignante. Un nouveau comité implique les acteurs principaux des filières dans les prises de décision. Il a vocation à assurer plus de transparence et de communication entre les parties prenantes.
Numéros de page :
pp.56-57

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Bulletin : We demain 37
A l'heure où les décharges sauvages ravagent la côte libanaise, Ziad Abi Chaker milite depuis vingt ans pour enrayer le phénomène. Son entreprise de tri et de valorisation du plastique, près de Beyrouth, emploie 52 personnes .
Numéros de page :
pp.102-105

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Naissance de nouvelles filières "REP" (responsabilité élargie du producteur), extension de celles existantes et autres évolutions du régime des REP : la loi "Agec" du 10 février 2020 va entraîner, dès cette année, de profonds bouleversements. L'organisation des déchetteries des collectivités, rouage clé dans la collecte des déchets, va être lourdement impactée. Si la plupart de ces flux y aboutissent déjà, la façon de les gérer va devoir être complètement revue. Même avec la meilleure volonté, ces déchetteries ne pourront pas pousser leurs murs, ni déménager.
Numéros de page :
pp.30-35

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Avec l'explosion du prix des carburants, réduire le coût de la collecte des ordures ménagères s'impose. Des collectivités limitent la fréquence des tournées, d'autres vont plus loin en choisissant l'apport volontaire, qui fait baisser la facture tout en réduisant les flux. Détails. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.8-10

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Handicapée par les impayés de l'Etat et par son parc vieillissant, la société spécialisée dans la collecte de déchets a connu une année délicate. Mais l'obtention d'un financement va lui permettre de renouveler sa flotte.
Numéros de page :
pp.98-99

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223 000 tonnes de textile usagés ont été collectées en 2017 en France, soit 35 % du neuf. Lobjectif fixé par l'Etat est d'atteindre les 50 % d'ici 2019. Mais l''éco-organisme Eco-TLC, en charge du recyclage de la filière textile, et les opérateurs de tri n'arrivent pas à s'entendre sur le montant de la participation de ces derniers par tonne de textile. Les opérateurs dénoncent une volonté de dépenser le moins possible dans le secteur, alors qu'il faudrait au contraire augmenter les investissements pour faire progresser le tonnage collecté et trouver de nouveaux débouchés au textile recyclé.
Numéros de page :
pp.36-38

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Depuis 2012, la ville de Besançon (Doubs) a opté pour la redevance incitative dans la gestion de ses déchets. Tous les bacs de poubelles ont été dotés de capteurs indiquant la quantité de déchets produite. Plus un bac est rempli, plus la facturation est élevée pour les habitants et professionnels, selon le principe du pollueur-payeur. Grâce à ce système, les déchets résiduels ont baissé de 34 % en six ans, pour une moyenne de 150 kilos par an et par habitant, contre 400 kilos en moyenne ailleurs en France.
Numéros de page :
pp.54-55

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Si les distributeurs ont tendance à se concentrer sur l'optimisation de leur processus de livraison en 2019, ils ne doivent pas négliger la gestion des retours, très importants également aux yeux des clients. L'objectif est de simplifier au maximum cette opération pour le client et un véritable marketing de retour tend à apparaître. En coulisses, le processus reste toutefois complexe à maîtriser. Souvent gratuits pour le client, les retours représentent des frais importants pour les entreprises qui tentent d'industrialiser les différentes étapes afin de faire baisser les coûts.
Numéros de page :
pp.32-34

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Dépollution, gestion des déchets, ingénierie verte: une poignée de groupes locaux est parvenue à damer le pion aux géants internationaux du secteur. Sommaire. Stratégie. Les pionniers africains passent à l'offensive. Maroc. Ozone à l'affût des opportunités post-pandémie. Tunisie. Amal Services, une première maghrébine. Cameroun. Insatiable Hysacam. Gestion de l'eau. Les enjeux africains de la bataille Veolia-Suez. Prévention des risques. Comment Trafigura a tiré la leçon du « Probo Koala ». Traitement des déchets. Dakar dans l'impasse. L'incinération, la fausse solution miracle, tribune.
Numéros de page :
pp.116-125

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Suite à la crise du Covid-19, les services de collecte et de recyclage des déchets des collectivités français sont fragilisés. Elles doivent faire face à des pertes financières et à des surcoûts importants. Elles sont également confrontées à l'arrêt d'une partie de leurs salariés par mesure de sécurité. Entretien avec Stephane Leterrier, directeur général adjoint du Groupe Paprec, chargé des collectivités. Zoom sur un équilibre financier plus dangereux que jamais pour 2021 et 2022. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.28-33

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Sommaire. Les déchets, quelle histoire ! Hier on jetait... Aujourd'hui on récupère et on trie. Recycler, ça s'apprend ! A quoi ça sert de trier le verre ?
Numéros de page :
pp.10-17, 19-23