L'humanité est censée avoir franchi une étape : elle est désormais adulte et n'a en conséquence plus besoin, ni de Dieu, ni de maître ; les hommes sont des hommes de savoir, non des croyants. Mais l'auteur s'interroge alors sur le sens d'une vie qui débouche sur le néant, ce qu'il advient des atomes d'un corps après sa mort.

Sous forme de lettres imaginaires adressées à Ponce Pilate, Freud, Nietzsche, Pascal, Job, Descartes ou Thomas d'Aquin, l'auteur expose des arguments qui défendent l'hypothèse de l'existence de Dieu.