Dernier round. James Ellroy clôt sa trilogie.

L'un des plus grands écrivains américains est-il aussi un réac mal embouché ? James Ellroy sort l'incroyable Underworld USA, dernier volet de sa trilogie américaine. Et il n'en ressort pas content...

Alors que paraît « Perfidia », premier volet de sa nouvelle tétralogie de Los Angeles, James Ellroy évoque ses techniques d'écriture et le politiquement correct.

Dernier roman d'Ellroy, Underworld USA ne fait pas l'unanimité. Transfuge a demandé à quatre écrivains américains de donner leur avis : William T. Vollmann, Eric Miles Williamson, Norman Rush et Larry Fondation. Débat et entretien avec James Ellroy.

Le colosse du roman noir américain, fasciné par la violence depuis la mort de sa mère quand il était enfant, a décidé de consacrer sa vie à réinventer l'histoire de l'Amérique contemporaine. Son but ? Révéler l'infrastructure humaine des grands événements collectifs, en rendant au millimètre la réalité d'êtres qui aiment et trahissent à la fois, en permanence déchirés par des aspirations contradictoires.

L'insatiable auteur du "Dahlia noir" entame un nouveau cycle romanesque, imaginant la jeunesse de certains de ses personnages durant la Seconde Guerre mondiale.

James Ellroy, maître du roman noir, démarre son nouveau "Quatuor de Los Angeles" à la veille de Pearl Harbor, et parle de la guerre, de Dieu et de ses obsessions.