Encouragement à l'immigration illégale, entrée illicite dans des eaux territoriales, collusion avec les passeurs... Voici quelques-unes des critiques formulées à l'encontre des ONG portant secours à ceux qui tentent la périlleuse traversée vers l'Europe. Sont-elles justifiées ?

La ''jungle" n'existe plus mais les candidats à l'exode vers l'Angleterre sont encore bien présents. Une situation qui semble inextricable pour les autorités et que la loi Immigration ne résoudra pas. Reportage.

Les migrants à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie sont victimes d’une double manipulation : de la part d’Alexandre Loukachenko, qui a monté une crise migratoire pour faire pression sur l’Union européenne ; et de celle du Pis, qui s’érige en défenseur de l’intégrité européenne tout en refoulant brutalement les réfugiés. Cette impasse montre combien une politique migratoire européenne est nécessaire.

Les ressortissants du Royaume-Uni ne peuvent séjourner dans l'espace Schengen que quatre-vingt-dix-jours par tranche de six mois. Mais un nombre croissant de retraités et de jeunes voyageurs dépassent délibérément la limite autorisée, quitte à risquer l'expulsion.

Deux centres de rétention pour migrants gérés par Rome ont ouvert leurs portes dans ce pays des Balkans. Un dispositif inédit qui pourrait séduire d'autres Etats, mais qui inquiète le Conseil de l'Europe. L'enquête se poursuit par l'article intitulé "Immigration. Quand l'Europe se referme".

Plusieurs livres récents dénoncent des manquements aux règles de l'asile. L'Union européenne aurait-elle durci ses frontières au point de renoncer à ses obligations humanitaires ?