Les congressistes de l'Ifla ont choisi cette année Jérusalem pour débattre de la bibliothèque du futur. Les différents intervenants ont pu aborder, d'un point de vue international, des questions cruciales comme les métadonnées ou les coûts d'accès aux ressources électroniques.

Succès confirmé pour la 69e conférence annuelle de l'IFLA, principale instance représentative des professionnels de l'information, qui s'est fait remarquer par des déclarations en prise directe avec l'actualité et la menace des libertés intellectuelles.

C'est Boston qui a accueilli la 67e conférence de l'IFLA. Cette fédération d'associations nationales de professionnels de l'information fait la part belle à l'expression de multiples points de vue.

Pour célébrer son soixante-quinzième anniversaire, l'Ifla, principale instance représentative des professionnels de l'information, vient notamment d'édicter une Déclaration sur les bibliothèques, les services d'information et la liberté intellectuelle.

Les bibliothèques sont devenues des infrastructures centrales du processus d'éducation et de développement pour les pays en difficulté, avec les professionnels en première ligne.

Conférence aux multiples facettes, à l'image qu'offre actuellement le monde des bibliothèques, la 71e Conférence de l'Ifla (Fédération internationale des associations de bibliothécaires et d'institutions), qui s'est tenue à Oslo du 14 au 18 août dernier, n'a pas démenti sa réputation de manifestation géante.

Le 72e congrès de l'Ifla s'est tenu en août 2006 à Séoul dans un contexte où les bibliothèques vivent toujours des situations très contrastées, non seulement entre le Nord et le Sud, mais aussi à l'intérieur des pays les plus favorisés. D'où la poursuite de missions et des initiatives nouvelles où le livre est porteur de lien.