Trente-huit ans après la mort de son beau-père, Cheikh Raymond Leyris, le maître de la musique arabo-andalouse, Enrico Macias lui rend hommage. Et retrouve ses racines.

Rave, techno, hardcore, rap, folk, chanson française : chaque année, le Printemps de toutes les musiques fleurit en terre berrichonne. Un pari fou qui est devenu une magnifique aventure.

Le printemps de Bourges a basculé du côté des festivals trentenaires avec aplomb, c'est-à-dire avec une programmation exigeante construite plus pas affinités artistiques qu'autour des têtes d'affiche.

Pour cette trente-troisième édition, les salles bruyères distillaient à nouveau leur éclectique programmation.

63 636 billets vendus et 8 500 invitations. Quarante et un concerts complets, du 26 avril au 1er mai 2006, sur quarante-sept. Un taux de remplissage de 109% ! Edition bénéficiaire et bilan artistique très satisfaisant. Le Printemps de Bourges a fêté en beauté son 30e anniversaire.

Le Printemps de Bourges a trouvé sa vitesse de croisière. Sans tête d'affiche internationales, avec une programmation privilégiant découvertes et tendances actuelles, le festival a réussi l'une de ses meilleures éditions

Le Printemps de Bourges se porte comme un charme, avec une dernière édition bien fréquentée par le public, malgré le peu de têtes d'affiche.