Les enquêtes périnatales réalisées au cours des dix dernières années rapportent que 3 % des femmes enceintes consomment de l’alcool. Les conséquences malformatives et neurologiques de l’exposition prénatale à l’alcool sont pourtant connues depuis plus de 50 ans et l’avancée des recherches a montré que les effets de l’alcool durant la grossesse et l’allaitement vont bien au-delà d’anomalies visibles à la naissance. Les conséquences neurologiques, du retard mineur aux troubles comportementaux sévères, illustrent toute la gravité de cette intoxication.

40% des malformations du foetus ne sont pas détectées à l'échographie ! A qui la faute ? Aux machines, aux opérateurs, ou à un mal-entendu sur la mission exacte de ces derniers ?

Ce traitement prescrit aux femmes enceintes souffrant d'épilepsie fait courir des risques importants de malformations foetales.

Sans avoir besoin d'ouvrir le ventre de la mère, la chirurgie in utero permet déjà de sauver des foetus menacés par certaines anomalies. Et les progrès techniques de cette chirurgie de l'extrême sont tels que les médecins peuvent désormais réaliser des opérations cardiaques sur des foetus âgés de seulement 29 semaines

Nous voulons tous des bébés parfaits. Mais que faire quand, à l'échographie, on détecte une anomalie qui risque, dans un cas sur cinq, de donner un enfant anormal ?