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Foxtrot

Article

Après "Lebanon", Samuel Maoz signe un film très noir autour de l'armée israélienne, "Foxtrot". Rencontre.
Numéros de page :
pp.50-51

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Huit ans après avoir évoqué le souvenir traumatique de la guerre du Liban de 1982 dans "Lebanon" (Lion d'or à la Mostra de Venise en 2009), Samuel Maoz explore, dans "Foxtrot" (Lion d'argent 2017), le hors-champ quotidien de la guerre, pour en révéler la dimension tragique et absurde. Dans ces deux longs métrages, le réalisateur israélien parvient à ancrer un fort sentiment de réel (la claustration, l'attente, l'absence de signification des manoeuvres accomplies, le souci du détail saisissant) dans une atmosphère qui glisse vers l'onirisme.
Numéros de page :
pp.16-22