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France, Armée -- Tirailleurs sénégalais

Article

Soixante-trois ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les pensions de 180 combattants marocains devraient enfin être alignées sur celles de leurs frères d'armes français. Mais pas celles des ex-tirailleurs sénégalais
Numéros de page :
3 p. / p. 12-14

Article

Autodidacte remarqué par Willy Ronis pour son travail sur les civilisations lacustres du Bénin, Philippe Guionie se consacre aux derniers soldats africains de la Seconde Guerre Mondiale
Numéros de page :
3 p. / p. 98-100

Article

Auteurs
Michel, Nicolas Auteur du texte
Le 12 janvier 1920, un paquebot devant rallier Dakar sombre au large des côtes françaises. A son bord, des tirailleurs. Près d'un siècle plus tard, des hommes et des femmes se battent contre l'oubli de cette tragédie.
Numéros de page :
4 p. / p. 66-69

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Auteurs
Bouvier, Pierre (1938-....) Personne interviewée
Les tirailleurs "sénégalais" - en réalité originaires de différents pays d'Afrique - et leurs compagnons d'armes du Maghreb ont payé un lourd tribut aux deux guerres mondiales. En retour, ces soldats ont connu discriminations, inégalités des soldes, gel des retraites, et absence de commémorations de leur sacrifice avant le 21e siècle.
Numéros de page :
5 p. / p. 38-42

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Auteurs
Fin novembre 1944, dans le camp de Thiaroye, près de Dakar, des soldats d'origine africaine de l'armée coloniale se révoltent pour une question d'argent.
Numéros de page :
2 p. / p. 82-83

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Depuis le film de Sembème Ousmane (1988), l'histoire de la révolte des tirailleurs sénégalais du camp de Tiaroye a peu à peu prix la valeur d'un mythe, notamment dans les pays de l'ex-AOF. Durement réprimée, cette révolte signalerait la situation impossible dans laquelle étaient enferrés ces soldats africains de l'armée française et les injustices qu'ils eurent à subir de la part des autorités coloniales.
Numéros de page :
14 p. / p. 117-130

Article

Auteurs
Miot, Claire Auteur du texte
Date parution pério
2015-01-01
A l'automne 1944, plus de quinze mille tirailleurs sénégalais sont progressivement et parfois chaotiquement retirés du front de la Première Armée française dans la région de Belfort, puis transférés dans le Sud de la France. Ni véritable relève, ni tout à fait hivernage, cette opération de « blanchiment », ou « blanchissement » pour reprendre les termes connotés de l'époque, soulève de nombreuses interrogations.
Numéros de page :
13 p. / p. 77-89