Organisé du 11 au 14 octobre 2007, l'événement londonien n'a pas convaincu les collectionneurs les plus pointus. Les ventes ont néanmoins été soutenues et régulières.

Pour sa seconde édition (15-19 octobre 2008), la foire DesignArt London s'agrandit et plante sa tente à Berkeley Square.

Organisée du 14 au 17 octobre 2010, la foire londonienne voit revenir les galeries qui l'avaient boudée en 2009.

De très bon niveau, la foire Frieze a enregistré un commerce solide sans ostentation.

Frieze accueille de nouveaux exposants venus du continent américain. La foire prépare aussi sa greffe new-yorkaise, prévue en mai 2012.

Alors que Frieze Masters a transformé l'essai, Frieze London se montre plus ordonnée mais guère palpitante.

La nouvelle directrice Victoria Siddall n'a pas bouleversé la formule de ce rendez-vous devenu incontournable.

La foire fait coexister un secteur d'oeuvres très formatées et commerciales avec une zone de découvertes, tous deux toujours très solides voire en progression.

Alors que Frieze London continue à avancer sur ses rails, Frieze Masters semble accentuer sa réorientation déjà engagée vers le XXe siècle historique.

Peinant à se renouveler, la double foire londonienne s'est montrée fort décevante, tant dans ses propositions que dans la vivacité des transactions.

Rien ne prédestinait les Anglais Amanda Sharp et Matthew Slotover à devenir des références sur le marché mondial de l'art contemporain. Pourtant, grâce à un flair à toute épreuve, leur magazine "Frieze" accompagne depuis vingt-cinq ans les jeunes talents qui comptent. Et les foires qu'ils ont lancé à Londres et New York attirent chaque année les plus grandes galeries de la planète. A l'image de la Frieze Art Fair qui se tient dans la capitale britannique jusqu'au 9 octobre 2016.