Aller au contenu principal

Gide, André (1869-1951) -- Amis et relations

couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE D En réserve
Année de parution :
2002
André Ruyters (1876-1952) est une figure bien oubliée des lettres européennes. Si l’on se souvient qu’il co-fonda La Nouvelle Revue Française, c’est à peine si l’on sait encore qu’il fut aussi écrivain. Pourtant, de 1895 à 1907, ce Bruxellois, précocement entré en littérature à dix-neuf ans, a entrecroisé ses œuvres à celles d’André Gide (1869-1951) pour donner naissance à un dialogue riche et original, à la fois d’ordre affectif, intellectuel, moral et esthétique. Avec le souci d’éclairer un point de l’histoire littéraire franco-belge, jusqu’alors largement inconnu, cette étude brosse le portrait d’un maître et d’un disciple imitateur, mais qui est aussi volontiers critique de son aîné.
Editeur :
Collection :
Critiques littéraires
Importance matérielle :
374 p. : couv. ill. : 22 cm
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE A En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1978
4ème de couv. : "Entre les deux guerres La Nouvelle Revue Française était devenue, selon l'image de François Mauriac, la « rose des vents » de notre littérature. Mais comment avait-elle été créée, quelques années avant 1914, et pourquoi s'était-elle imposée dès cette première phase de sa longue existence ? De ces questions est née l'importante étude à laquelle Auguste Anglès s'est livré pendant de longues années. Elle suit les cheminements des six futurs fondateurs, leurs rencontres et les tentatives de leur « groupe invisible » qui aboutirent, à la fin de 1908 et au début de 1909, au « faux départ », puis au « vrai départ » de la N.R.F. Grâce aux correspondances qu'échangeaient avec prodigalité les hommes de cette époque, on ne voit pas seulement s'élaborer une revue au mois le mois, on découvre aussi un réseau de relations qui s'étend à maints secteurs de la vie intellectuelle et de la vie tout court. L'idée même du groupe reste la clé de voûte de la N.R.F., et l'on pourra conclure l'étude de ces six années dans ce sens, en citant Auguste Anglès : « Admirons que malgré l'usure des uns, l'évolution des autres, les fluctuations de leurs rapports entre eux, les apports et interventions de l'extérieur, sa résistance sur l'essentiel ait été somme toute exemplaire. Au commencement avait été l'amitié, et à la fin, après tant de fortunes diverses, subsistait l'amitié. »
Editeur :
Collection :
Bibliothèque des idées
Importance matérielle :
1 vol. (478 p.) : 22 cp
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) WILDE G En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1938
Une autre image de Wilde au faite de la gloire, puis de la tragédie, est celle que nous offre Gide dans les souvenirs qu'il rédigea aussitôt qu'il apprit, à Biskra, la mort de celui dont il se plaignait à Valéry en ces termes : " Wilde s'étudie pieusement à tuer ce qui me restait d'âme. Depuis Wilde, je n'existe que très peu. " Sans doute après la rencontre historique d'Alger, où l'Anglais, dans la pénombre d'un café, poussa le jeune puritain très " coincé " dans les bras d'un jeune Arabe. Gide, qui noterait dans son Journal : " Wilde ne m'a fait, je crois, que du mal. " Gide, qui ne le considérait pas comme un grand écrivain, mais comme un grand " viveur ", et qui, en prenant au sérieux la célèbre boutade de son cher ami-ennemi : " J'ai mis tout mon génie dans ma vie ; je n'ai mis que mon talent dans mon oeuvre ", a contribué à renforcer le soupçon de pure frivolité qui pèse toujours sur lui. Mais dans ces pages dont on lui sera à jamais reconnaissant, il rapporte les merveilleuses histoires que le conteur essayait oralement devant ses amis avant de les rédiger. Ou cette observation qui est d'un véritable romancier : " Ceux qui sont pour la première fois en prison se reconnaissent à ce qu'ils ne savent pas parler sans remuer les lèvres. " Ou, encore, ce mot qui résume le côté nocturne de la vie et de l'oeuvre de Wilde : " La pitié, c'est le côté par où est ouverte une oeuvre, par où elle parait infinie. " L'auteur des Faux-Mon-nayeurs en a-t-il jamais montré ? On ne retire rien à son génie en posant la question, qui fournira sans doute un thème de débat parmi les initiés, dans ces catacombes où la littérature apportera la lumière d'une lampe de poche. BIANCIOTTI, HECTOR, in : Le "Monde", 07-07-1989
Editeur :
Importance matérielle :
75, 74 p.. : 1 port. front : 19 cm
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE En réserve
Année de parution :
1983
« Lundi 19 mai. Retour d'Italie depuis mercredi dernier » : cette note du Journal d'André Gide contient tout ce que nous savions jusqu'ici de ce voyage du printemps 1913, fait en compagnie de ses amis Henri Ghéon, Eugène Rouart et François Paul-Alibert… Mais celui-ci avait conservé un journal de ces quinze jours où il était allé de découvertes émerveillées en émotions sans cesse renouvelée. Et ce texte inédit nous restitue les enchantements du poète dont l'an dernier, les PUL révélaient les quarante années de sa belle correspondance avec Gide ; on y vit quelques jours dans la familiarité de celui-ci, alors déjà vieil amoureux de l'Italie… Ces pages se lisent comme on relit Stendhal, pour s'enchanter d'un rêve. Sa tendresse, son humour, son goût pour les êtres, sa passion pour l'amour qui passe, une certaine malédiction, tout cela qui constitue le vrai Alibert ne peut se dire simplement. Il faut le lire dans la confidence de ce récit. C'est la part d'infini dont il était secrètement en peine…
Importance matérielle :
1 vol. (XXII-90 p.-[16] f. de pl.)
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE C4 En réserve
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE C7 En réserve
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE En réserve
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) RIVIERE En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1931
Importance matérielle :
24 p.
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE B En réserve
Année de parution :
2006
Maître à penser de la première moitié du XXe siècle, prix Nobel de littérature, André Gide – tout le monde le sait – était homosexuel. Cette étiquette, qu’il revendiquait, a figé en quelques clichés l’image de sa vie amoureuse. Mais la vie se moque des étiquettes. André Gide et un jeune adolescent qui deviendra plus tard le grand cinéaste Marc Allégret vivent une belle histoire d’amour, en dépit du qu’en-dira-t-on. Paris, Genève, Cambridge, l’Afrique équatoriale, Berlin sont les principales étapes de cette émouvante aventure intellectuelle et physique. Autour des deux compagnons, des amis et quatre femmes exceptionnelles animent l’hédonisme, la modernité, le brio intellectuel et la fantaisie de cette tribu gidienne qu’Aldous Huxley qualifiait de « Bloomsbury à la française ». Le Roman secret reconstitue cette histoire discrètement et partiellement évoquée dans des dizaines de livres… mais jamais racontée. Du même auteur :
Editeur :
Importance matérielle :
1 vol. (322 p.) : couv. ill. : 23 cm
9782259200417
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) VAN RYSSELBERGHE V En réserve
Année de parution :
2006
De 1918 à 1951, Maria Van Rysselberghe va tenir ses Cahiers, et y appréhender la vie d'un des écrivains majeurs de la première moitié du XXe siècle. Son seul but étant de restituer sans parti pris, avec un réel souci de véracité, des souvenirs vivants et précis. Elle y relate l'émerveillement, le côté intense de Gide, son enthousiasme, ses contradictions, sans s'y laisser piéger. Les Cahiers, qui totalisent plus de 3 000 pages, sont ici «décantés». Ce volume propose une approche thématique et chronologique de la vie d'André Gide. L'évocation du travail de l'écrivain, les souvenirs de l'entourage, le regard porté sur l'histoire, les portraits, maximes et réflexions constituent un vivant témoignage, une sorte de dialogue infini, fidèle au précepte du jeune Gide : Vivre, c'est créer.
Editeur :
Collection :
Collection Folio
Collection Folio
Importance matérielle :
1 vol. (704 p.-[16) p. de pl.) : ill., couv. ill. : 18 cm
9782070307517
Veuillez vous connecter pour réserver
couverture du document
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 8(092) GIDE H En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1999
Plus qu'aucun autre, Pierre Herbart a connu Gide, a vécu dans son intimité. La figure qu'il évoque, confrontée à celle que Gide a laissée de lui-même dans son oeuvre, épouse ses vrais contours et rejoint sa grandeur. Ce petit livre s'efforce de retracer l'aventure de l'homme par rapport à sa création.
Editeur :
Collection :
Le Cabinet des lettrés
Le Cabinet des lettrés (Paris).
Importance matérielle :
84 p. : couv. ill. en coul. : 17 cm
9782070757336
Veuillez vous connecter pour réserver