Depuis son excitante prestation dans ″Drive″, dont il retrouve le réalisateur pour ″Only God Forgives″, il est devenu le sex-symbol absolu des années 2010. Entretien avec le zen et volubile Ryan Gosling, star incontestable de Cannes.

Comédien, musicien et aujourd'hui cinéaste : Ryan Gosling est passé derrière la caméra pour l'amour de Detroit, des ambiances dark et du travail en équipe. Bascule réussie avec "Lost River".

« Only God Forgives », plongée hantée et ultraviolente dans les entrailles de Bangkok, marque les retrouvailles attendues de Ryan Gosling et Nicolas Winding Refn, le réalisateur de « Drive ». Avant de mettre une bonne droite à la compétition cannoise et alors qu'il prépare son premier film en tant que metteur en scène, l'acteur fait le poing dans une interview exclusive.

Fini les « bogosseries ». Avec « Lost River », conte gothique en forme d'odyssée, Ryan Gosling passe derrière la caméra et nous offre un "ride" en train fantôme au coeur de ses obsessions. Interview... hantée.

Ryan Gosling, révélé par "Danny Balint", et Michael Pitt, vu dans "Bully", sont fascinants dans "Calculs meurtriers" de Barbet Schroeder.

Justicier solitaire au volant de ″Drive″, coach en séduction à tomber dans ″Crazy Stupid Love″... La rentrée ciné prend des airs d'autoroute à la gloire de Ryan Gosling. Parce qu'il le vaut bien, tout simplement.

Un film de gangster dans la lignée du genre avec un vrai méchant, des flics impitoyables, une femme fatale... Et Ryan Gosling en nouveau chef de file des acteurs qui comptent. Cela valait bien une rencontre.

La star de "Drive" passe derrière la caméra et livre "Lost River", un premier film assez barré. Il s'en explique au cours d'une rencontre, en toute simplicité et sans langue de bois.