S'appuyant sur les grands philosophes et les dernières recherche en neurobiologie, l'auteur souligne l'importance sous-estimée du jeu dans l'invention et la diffusion des croyances. Il évoque l'exemple du pastafarisme, une religion inventée de toutes pièces dans un but parodique et dont les adeptes sont aujourd'hui reconnus. ©Electre 2020

Un ouvrage sur l'iconographie hindoue à travers la littérature et l'architecture, du Moyen Age à l'époque contemporaine. L'auteur présente les caractéristiques de chaque divinité, ses origines et représentations, mais également les objets de tradition populaire : jouets en bois de Kondapalli, figurines en terre cuite, peintures du Mithilâ ou encore, les photographies des dieux. ©Electre 2018

A partir de la collection de sculptures du musée de Tervuren en Belgique, l'auteur s'intéresse au culte nswo partagé par plusieurs cultures du sud-ouest de la République Démocratique du Congo telles que les Yanzi, les Sakata, les Hungan, les Tsong, les Mbala, les Teke, les Dikidiki et les Yaka. Il évoque les origines de ce culte, son expansion et ses variations régionales. ©Electre 2016

Une réflexion sur la représentation biblique de Dieu et son imposture. Le théologien aborde la confusion de l'image divine avec les idoles, notamment celle du diable, qu'il décrit comme un mensonge dans lequel l'homme s'enferme lorsqu'il se fabrique un Dieu correspondant à ses plaisirs et ses peurs. ©Electre 2015

Dans les sociétés antiques, les images parlantes ou animées sont attestées par de nombreux textes, aussi bien en Égypte qu'en Grèce. Les représentations des dieux ont une grande place dans les temples et jouent un rôle central dans les liturgies. Bien que le christianisme condamne l'idolâtrie, ce concept finit par s'imposer dans le monde chrétien, notamment sous la forme des icônes. Electre 2020

Cet ouvrage est le dernier volet d'une tétralogie dédiée à la philosophie de la violence. À défaut de Dieu ou de dieux, ce sont des idoles qui s'invitent pour engendrer de nouvelles violences. La première est le "moi-je" qui sépare l'individu de la communauté. Suivent alors le Veau d'or jusque dans le capitalisme effréné, les morales dégénérées, les certitudes et les convictions, le progrès qui régresse et la raison qui déraisonne. Embourbée dans l'hubris, l'humanité a construit un monde menaçant, où la némésis prend la figure de catastrophes climatiques et de dérèglements des équilibres biologiques. Mais il arrive que les idoles coagulent en idéologies qui s'en prennent aux races ou aux classes, pour se débarrasser des hommes et construire le monde nouveau qui mettra fin à l'Histoire. Alors, les paradis se transforment en cauchemars. L'ouvrage s'achève sur la question du suicide, tout en invoquant l'espérance de découvrir l'ordre sous le chaos.