Industrie funéraire
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Lyan, Marie null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1914 - avril 2018
Le secteur français des services funéraires se développe, avec 603 000 décès en 2016 contre 530 000 dix ans plus tôt. La hausse de la démographie profite aux intervenants qui sont de plus en plus nombreux. Pour se démarquer, ces derniers proposent de nouvelles pratiques pour faire évoluer leur image. Incinération, personnalisation des cercueils, démarches dématérialisées en ligne, QR codes sur les pierres tombales...La profession se digitalise. En revanche, elle est aussi de plus en plus encadrée. Explications. Quelques données chiffrées.
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Phiri, Marko null
Bulletin : Courrier international 1659
Alors que l’économie agonise sous les coups d’une inflation galopante, les entreprises funéraires sont à la peine et le coût des obsèques explose.
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Perrier, Agathe null
Bulletin : Nouvel économiste 2114
Le moment des obsèques ne déroge pas à la tendance générale dans la société : les personnes veulent être plus soutenues, épaulées, chouchoutées. Un rôle qui revient aux opérateurs funéraires, qui n’hésitent pas à élargir leurs prestations initiales pour satisfaire au mieux les familles. Parfois d’ailleurs en ayant recours à un prestataire. Si cela reste encore marginal, notamment parce que nouveau et donc inconnu, ce type d’interventions se développe et se démocratise. Tout comme le fait d’anticiper ses funérailles pour décharger ses proches de cette tâche le moment venu.
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Certes, Nicolas null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1890 - octobre 2017
Le marché français des services funéraires ne s'est jamais aussi bien porté. Il a été estimé à 2,5 milliards d’euros en 2015, avec une offre qui a explosé ces dernières années, notamment sur Internet. En 2014, près d’une personne sur deux chez les plus de 40 ans comptait laisser des instructions concernant ses obsèques. Une volonté qui est en constante augmentation et qui profite aux opérateurs du marché. Les assurances obsèques permettent de mettre un capital de côté pour financer ses funérailles le moment venu.
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Bulletin : <>Nouvel économiste 1915 - avril 2018
Le marché mondial du funéraire est lucratif. Avec 2,7 millions de décès annuels en Amérique, le secteur a représenté 16 milliards de dollars en 2017, 19 000 entreprises de pompes funèbres, 120 000 emplois directs ou indirects. En France, le marché est estimé à 2,5 milliards d’euros. En Allemagne, il était de 1,5 milliard en 2014 et employait 27 000 personnes. En Grande-Bretagne, le secteur est estimé à 2 milliards de livres (2,3 milliards d’euros) et à plus de 20 000 emplois.
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Jouanneau, Hervé null
Sur un marché des services funéraires estimé à 2,5 milliards d'euros en France en 2015, les opérateurs funéraires publics tentent de résister à la concurrence marchande en 2019. Celle-ci se développe en effet fortement, boostée par les contrats obsèques et l'essor de la crémation. La concentration du secteur bat son plein, les grands groupes, OGF et Funecap en tête, monopolisent de plus en plus le marché et font grimper les tarifs.
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Numéros de page :
pp.34-40
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Lana, Sandrine null
Bulletin : <>Nouvel économiste 1991 - novembre 2019
Les évolutions de la société impactent également la mort en 2019. Recul de la religion, importance prise par le numérique, les pratiques évoluent et les services funéraires sont appelés à s'adapter. La crémation est ainsi de plus en plus utilisée et concerne désormais 35 % des décès, contre à peine 1 % dans les années 1980. Le nombre de crématoriums est donc en augmentation, de même que les chambres funéraires.
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Perrier, Agathe null
Bulletin : <>Nouvel économiste 2042 - novembre 2020
Le secteur funéraire (2,5 milliards de CA en 2015) évolue avec des nouvelles demandes de la part des familles : montée de la part des crémations (de 0 à 40% entre 1970 et 2020), cérémonies davantage laïques, intégration de la variable environnement dans le choix des cercueils notamment. Les opérateurs funéraires s'adaptent en créant des salles de cérémonie, en mettant à disposition des meneurs de cérémonies autres qu'un prêtre, en proposant des produits et services nouveaux, notamment par Internet. Données chiffrées.
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Mathieu, Béatrice null
Bulletin : L'Express 3774
La loi de 1993 mettait fin aux monopoles des services funéraires. Mais la concurrence n'a pas apporté transparence et baisse des prix espérées.
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Fort, Martin null
Bulletin : La| Revue dessinée Printemps 2024
Date parution pério
2024-03-01
En 1993, une loi abolit le monopole communal des pompes funèbres en France. Objectif : faire baisser les prix des obsèques grâce à la concurrence du privé. Dès lors, la mort devient au contraire un business très lucratif. "Manque de transparence", "concentration" des opérateurs, "hausse des prix", la Cour des comptes dénonçait, en 2019, un secteur funéraire "insuffisamment contrôlé", au détriment des familles endeuillées qui payent le prix fort. Depuis quelques années, une alternative émerge : les coopératives funéraires, qui promettent une approche désintéressée.
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Numéros de page :
pp.10-37
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Sebirot, Sophie null
Bulletin : Le| Nouvel économiste 19 avril 2024
Date parution pério
2024-04-19
Rester fidèle à soi-même, jusqu’au bout de la vie… La personnalisation se développe dans le funéraire et le choix est pléthorique, y compris pour le cercueil. À la faveur d’une législation moins stricte qu’il y a dix ans, il est possible de recourir à des essences de bois plus variées et à une infinité de nuances de couleurs. Même le capiton peut se décliner en rose bonbon ou arborer des emblèmes chers au défunt.
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Thomas, Romain null
Bulletin : Le| Nouvel économiste 14 avril 2023
Date parution pério
2023-04-14
Alors que les cérémonies religieuses se font de plus en plus rares, les familles souhaitent des obsèques personnalisées, à l’image du défunt. Pour répondre à cette demande, les opérateurs funéraires n’hésitent pas à élargir leur offre de prestations pour pouvoir prendre en charge l’ensemble de la cérémonie. En plein air ou dans un théâtre, avec des outils numériques ou des drones, la palette est large et de nouveaux acteurs ont fait leur apparition sur le marché. Peu de chiffres.
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Numéros de page :
pp.15-16