De Marseille à Nice en passant par Nîmes et Clermont-Ferrand, l'Inrap a fait des découvertes importantes au cours des derniers mois.

Dans le cadre de la refonte de la carte militaire, la Rue de Valois a proposé la délocalisation du siège de l'institut

Le projet de délocaliser l'Institut de recherches archéologiques préventives à Reims refait surface au moment où sa direction vient d'achever son second mandat.

Après des allers-retours au Parlement, la réforme de la redevance d'archéologie préventive a fini par passer dans une version atrophiée.

Malgré les critiques persistantes, l'archéologie préventive souffle crânement ses dix bougies sur des années chahutées et fécondes.

Alors que son nouveau directeur général vient d'être nommé, l'Institut national de recherches archéologiques préventives a rendu public les résultats de l'enquête sur ses relations avec les aménageurs. Les taux des satisfactions s'avèrent bons et montrent une nette évolution des mentalités quant aux opérations de fouilles.

Le 5 mars dernier, l'Inrap révélait la découverte exceptionnelle d'une tombe princière du Ve siècle avant notre ère à Lavau, dans l'Aube. Son mobilier fastueux rappelle, à bien des égards, le fameux Trésor de Vix, mis au jour en 1953.

Le président de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) et professeur d'archéologie (Aix-Marseille université et Institut universitaire de France) se prononce sur les finalités de l'archéologie préventive.

L'Institut national de recherches archéologiques préventives (lnrap) fête ses dix ans d'existence avec une moisson de publications et d'événements. Bilan d'étape sur l'archéologie préventive avec son président.

2 000 chercheurs, 1 500 diagnostics et plus de 200 chantiers de fouille par an : l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) ne chôme pas et bouleverse, depuis plusieurs années, notre vision du passé.

A l'occasion du renouvellement de son mandat de président de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), Dominique Garcia, professeur des universités, ancien membre senior de l'Institut universitaire de France et vice-président du Conseil national de la recherche, a bien voulu répondre à nos questions sur les nouveau enjeux de l'Inrap.