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It must be Heaven

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Elia Suleiman n'avait pas tourné de long métrage depuis dix ans et "Le Temps qu'il reste", où il liait son histoire intime à celle de son pays, la Palestine. "It Must Be Heaverz" est le film de l'étranger, où le cinéaste, qui ouvre et conclut son film dans sa ville de Nazareth, promène entre temps son personnage mutique,joué par lui-même, à Paris et à New York. Or d'un endroit à l'autre du monde des motifs se retrouvent, qui disent une violence multiple et prédatrice, non circonscrite à un territoire. Sommaire. "It Must Be Heaven" d'Elia Suleiman (critique du film).
Numéros de page :
pp.52-56

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Le jury de cette soixante-douzième édition a décerné la Palme d’or à la fable grinçante du Coréen Bong Joon-ho, "Parasite", au terme d’une quinzaine mémorable.
Numéros de page :
pp.26-28

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Partir loin pour se retrouver : c’est ce que tente le Palestinien Elia Suleiman dans son nouveau film. Primé au dernier Festival de Cannes, "It Must Be Heaven" sort le 4 décembre 2019. Sommaire. Les tribulations de M. Suleiman. Le doux regard d’un sage en exil.
Numéros de page :
pp.52-53

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Evénement au Festival de Cannes où il fut récompensé d'une mention spéciale du Jury, "It Must Be Heaven" marque un aboutissement dans la filmographie d'Elia Suleiman. Rencontre au long cours avec un réalisateur palestinien qui, à la violence du monde contemporain, oppose les armes de la poésie, de l'humour et du cosmopolitisme.
Numéros de page :
pp.54-61

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Cinéaste rare, Elia Suleiman n'a tourné que quatre films. Dans "It Must Be Heaven", on retrouve sa patte de Jacques Tati palestinien, son art de montrer le fracas du monde avec un subtil humour burlesque.
Numéros de page :
pp.36-39