Avec "Je danserai si je veux", qui sort en salles le 12 avril 2017, la réalisatrice Maysaloun Hamoud questionne, à travers trois héroïnes, la place de la minorité arabe d'Israël, dont elle est issue. Un premier long-métrage en guise de manifeste, qui lui a valu d'être encensée comme menacée de mort.

Trois films, réalisés par des femmes, étaient en compétition au Festival international du film de Haïfa, en octobre 2016, traitant d'un même thème : la difficile coexistence entre Palestiniens et Israéliens. Parmi ces ‡uvres, il en est une qui a fait particulièrement parler d'elle, depuis sa sortie en salle en janvier 2017, il s'agit de "Bar Bahar", de Maysaloun Hamoud. Le film, qui sort mercredi en France sous le titre "Je danserai si je veux", a provoqué une vive émotion.

Rencontre avec Maysaloun Hamoud, la réalisatrice palestienne de "Je danserai si je veux". Entretien.

Rencontre avec Maysaloun Hamoud, la réalisatrice palestienne de "Je danserai si je veux". Entretien.