Le peintre maniériste Florentin Pontormo a consigné dans un carnet croquis et notes pendant les deux dernières années de sa vie. Quand l'obsession de la chaire rejoint celle de la chère...

Quatre livres dont le point commun est le regard.

De 1901 à 1929, cet auteur de contes tint son journal. Un témoignage irremplaçable sur un monde littéraire que le stalinisme allait anéantir.

Publié intégralement pour la première fois, son "Journal" nous révèle un écrivain plus proche de celui qu'il fut. Et qui demeure notre contemporain, définitivement capital.

Une fois n'est pas coutume, le peintre Delacroix s'efface devant l'écrivain. Tandis que Gallimard publie un texte inédit de son voyage en Orient, un essai réévalue l'importance littéraire de son "Journal".

La bande rouge édition définitive qui entoure cet énorme volume (plus de 1 600 pages) a de quoi faire rêver tous ceux qui s'intéressent à Valery Larbaud : un seul volume pour réunir toutes les éditions diverses parues au siècle dernier !

« Le monde curieux que nous habitons est plus merveilleux que pratique, plus beau qu'utile et doit être plus admiré et apprécié qu'exploité ». Henry Thoreau (1817-1862) le disait du fond de son Massachussetts, et ses lointains petits-enfants français, embusqués contre d'inutiles aéroports, barrages ou Center Parcs, à Notre-Dame-des-Landes, Sivens, ou Roybon, n'ont pas oublié sa parole.

« Il n'y a de vraies haines que les haines littéraires. Les haines politiques ne sont rien. » Les sept mille pages du "Journal" des frères Goncourt sont pour la première fois présentées intégralement au public allemand. Un florilège de ragots de première main sur les plus grands noms de la littérature du XIXe siècle. Pas très politiquement correct.