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Julieta

Article

Auteurs
Libiot, Éric Auteur du texte
Le cinéaste espagnol revient en compétition à Cannes, avec "Julieta", un portrait de femme sobre et bouleversant. Comme son auteur, empreint d'une sérénité nouvelle. Rencontre.
Numéros de page :
3 p. / p. 98-100

Article

Sur plusieurs décennies, les itinéraires d'une mère et d'une fille laminées par la culpabilité. Un mélo sombre et raffiné.
Numéros de page :
2 p. / p. 64-67

Article

Auteurs
Rouyer, Philippe Auteur du texte
Après la parenthèse amusée des "Amants passagers", Pedro Almodovar revient à ces portraits de femme qui enchantent son cinéma depuis "Tout sur ma mère". La différence avec tous ses grands films du début des années 2000, c'est l'épure, signe d'une maturité qui donne encore plus de prix à "Julieta".
Numéros de page :
2 p. / p. 43-44

Article

Si un plan de "Julieta" devait en dire l'épure, ce serait la mer que des cendres funéraires obscurcissent et qui, sous les remous, éclate en larme noires. Adaptation de "Hasard", "Bientôt" et "Silence", trois nouvelles d'Alice Munro tirées du recueil "Fugitives", "Julieta" est le film le plus sombre, le plus dur et en un sens le plus essentiel d'Almodovar.
Numéros de page :
9 p. / p. 30-32, 34-39

Article

Auteurs
Mérigeau, Pascal Auteur du texte
Date parution pério
2016-05-12
Si le cinéaste espagnol est si sombre, ce n'est pas en raison de l'affaire des "Panama papers" ni parce qu'il n'a jamais eu la palme d'or, c'est à cause de "Julieta". Rencontre.
Numéros de page :
3 p. / p. 92-94