Alors que la société californienne accumule les casseroles, les méthodes de cow-boy de son patron, Travis Kalanick, sont de plus en plus critiquées par ses chauffeurs, ses clients, et même par les investisseurs.

Son application de location de voitures privées avec chauffeur, Uber, en a fait l'ennemi des taxis traditionnels dans le monde entier. Autour d'un sandwich au steak à San Francisco, l'un des acteurs les plus combatifs de la Silicon Valley confie que "au bout du compte, ce sont le progrès et l'innovation qui l'emportent".

Les VTC, c'est lui. Le pire cauchemar des taxis, pas seulement parisiens. Uber, l'entreprise de ce pirate "hyper-successful", est présente dans 26 pays.