En Allemagne, Daniel Kehlmann est l'écrivain en vue, le plus lu et le plus traduit. Et la célébrité, il connaît : c'est le premier sujet de ses romans, précis d'humour et d'ironie

L'Allemand Daniel Kehlmann ressuscite une figure fascinante des sciences : Kurt Gödel. Quand le temps devint courbe.

Daniel Kehlmann, figure de proue de la littérature allemande, signe "Les Friedland", un puissant roman qui brosse une généalogie d'imposteurs et de sceptiques. Rencontre.

Jeune voix essentielle de la littérature allemande, Daniel Kehlmann signe un des plus saisissants et intelligents romans de la rentrée, "Les Friedland".

Un film très convaincant mais accueilli dans une relative indifférence, "Passage des hommes libres" (Luis-Armando Roche et Jacques Espagne, 1997) avait su retracer avec vraissemblance, en 1997, la peu ordinaire Odyssée sud-américaine du savant allemand Alexander Von Humboldt.

Le Mexicain Jorge Volpi et l'Allemand Daniel Kehlmann s'insinuent avec brio dans la tête des loups de la finance. En contrechamp, le Français Grégoire Polet évoque des Espagnols laissés à terre par la crise.

Quatre ans après le triomphe des Arpenteurs du monde, le jeune prodige de la littérature allemande est de retour avec un roman surréaliste bourré d'humour

Daniel Kehlmann, la quarantaine, est un des jeunes auteurs de langue allemande parmi les plus réputés, notamment grâce au succès de son roman "Les Arpenteurs du monde" (Actes Sud, 2007). Avec "Les Friedland", il invite le lecteur à s'aventurer sur les chemins croisés d'une famille, un père et ses trois fils, ballottés entre leur désir de donner sens à leur vie et les mauvais tours d'un destin qui se joue de leur libre arbitre.