En 2009, il décrochait notre prix du Polar. On l'a suivi dans le Berlin nazi, sur les traces de Bernie, son héros.

Du polar avec Philip Kerr à l'enquête de Gigi Riva, le ballon rond envahit tous les genres littéraires. Mise en jambes à la veille de l'Euro.

Antinazi mais enrôlé par les pires chefs du régime, Bernie Gunther, le héros de polars signés Philip Kerr, reprend du service, en pleine guerre froide, sur la Riviera.

Avec Une Douce flamme, l'auteur de La Trilogie berlinoise plonge à nouveau dans l'Allemagne nazie. Avant de faire un détour par l'Argentine de Peron. L'occasion de rencontrer l'écrivain dans une capitale allemande qu'il ne cesse d'arpenter.

Auteur à succès de la série des Bernie Gunther, l'Ecossais tente régulièrement d'échapper à son personnage fétiche. Comme aujourd'hui, en publiant le deuxième tome d'un nouveau cycle évoluant dans les milieux du football.

L'Euro 2016 remet une question au centre du terrain : pourquoi la France produit-elle si peu de romans sur son sport le plus populaire, au contraire de l'Angleterre ?

Autrefois, Philip Kerr écrivait dans sa chambre. Aujourd'hui, il s'est installé dans un immense bureau pourvu de deux tables, l'une derrière laquelle il s'assied, l'autre qui l'oblige à travailler debout.

Philip Kerr a marqué le roman policier avec La trilogie berlinoise. Dans Une douce flamme, le voici qui poursuit les aventures de son héros fétiche, Bernie Gunther.

Philip Kerr retrouve son personnage fétiche, Bernie Gunther, pour une balade nostalgique entre Riviera et espionnage.