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Kiarostami, Abbas (1940-2016)

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Quelle présence pour l'auteur quand il en vient à s'effacer au moment de la prise de vues ? Comment la discrétion d'une caméra numérique permet à la mise en scène de s'affirmer en toute liberté ?
Numéros de page :
/ 12-23

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Cosi Fan Tutte mis en scène par Kiarostami
Numéros de page :
2 p. / p. 58-59

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Découvert au Festival de Venise fin août 2008, Shirin, le nouveau film d'Abbas Kiarostami a été présenté à La Cinémathèque française le 15 décembre 2009
Numéros de page :
2 p. / p. 80-81

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En apprenant la mort d'Abbas Kiarostami, le 4 juillet à 76 ans, la première chose qui vient à l'esprit, c'est le souvenir de l'émotion qui nous a terrassés à la fin de ses films. Les derniers plans des films de Kiarostami sont inoubliables, ce sont les plus beaux derniers plans de l'histoire du cinéma, il les réussissait comme personne, comme un magicien qui fait à chaque fois le même tour, et ravit à chaque fois le public médusé.
Numéros de page :
11 p. / p. 76-86

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[...] Dans "Le Vent nous emportera", des habitants de la capitale découvrent en venant vivre dans un village de campagne, des rythmes différents, une manière autre de'appréhender l'existence. On a trop défini la cinéma de Kiarostami par une esthétique de la transparence, héritière de Rossellini, pour n'avoir pas fini par en masquer de plus profonds enjeux.
Numéros de page :
/ p. 4-15

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Le mardi 23 octobre 2001, à Paris, le cinéma La Pagode et la Maison des Ecrivains avaient organisé une "soirée Kiarostami".
Numéros de page :
/ p. 64-69

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