La Vie très privée de Mr Sim
Article
Auteurs
Lambron, Marc Auteur du texte
Bulletin : Le Point 2004 - février 2011
Le nouveau roman de Jonathan Coe cible l'époque en épinglant un perdant de la vie amoureux de son GPS.
Article
Auteurs
Clavel, André Auteur du texte
Bulletin : L'Express 3108 - janvier 2011
Jonathan Coe est le plus fin observateur de la société britannique. Cette fois, il montre les dents face aux nouvelles technologies.
Article
Auteurs
Juffin, Bruno Auteur du texte
Bulletin : Les Inrockuptibles 789 - janvier 2011
Subtil observateur de l'époque, Jonathan Coe signe un roman ultracontemporain sur la solitude d'un être incapable de se lier aux autres, dans une société elle-même rompue aux faux-semblants.
Article
Auteurs
Pujas, Sophie Auteur du texte
Bulletin : Transfuge 46 - février 2011
"La vie très privée de Mr Sim" retrace la descente aux enfers d'un antihéros, représentant en brosses à dents. Jonathan Coe écrit ici une odyssée tragicomique et livre une réflexion sur le libre arbitre.
Détails
Numéros de page :
2 p. / p. 26-27
Article
Auteurs
Liger, Baptiste Auteur du texte
Bulletin : Lire 392 - janvier 1900
Avec ″La Vie très privée de Mr Sim″, Jonathan Coe retrace l'odyssée d'un quadragénaire dépressif, devenu VRP pour une marque de brosse à dents. Un petit chef-d'oeuvre d'intelligence et de malice sur la solitude, la création littéraire, les ratages de la vie et l'Angleterre régie par la finance.
Article
Auteurs
Assouline, Pierre (1953-....) Auteur du texte
Bulletin : Magazine littéraire 505 - février 2011
Date parution pério
2011-02-01
Article
Auteurs
Kerjan, Liliane Auteur du texte
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 1030 - janvier 2011
Date parution pério
2011-01-16
Après avoir reçu le prix du Meilleur livre étranger en 1996 pour ″Testament à l'anglaise″, puis le Médicis en 1998 pour ″La Maison du sommeil″, Jonathan Coe revient avec son neuvième roman, ″La Vie très privée de Mr Sim″, histoire d'un éternel perdant, falot mais farfelu à souhait. Mettant la composition littéraire au service de l'humour et d'une pochade sur le virtuel, il propose, cette fois encore, une échappée rocambolesque vers le pur divertissement.