Crises sociales et politiques, Covid-19... Les investisseurs latinos-américains affluent dans la grande ville hispanique de Floride. Nouveauté : ils achètent souvent des biens pour en faire leur résidence principale et y télétravailler.

Contrairement aux idées reçues, la langue espagnole ne s'imposera pas au nord du Rio Grande. Pour mieux s'intégrer, les immigrés et leurs enfants se mettent rapidement à l'anglais, qui devient alors la langue dominante pour la troisième génération.

La capitale espagnole est devenue un refuge accueillant pour les riches Latino-Américains. Reportage.

Les mots brouillent les identités. Cette chroniqueuse, qui était “blonde” au Mexique, est devenue “brown” et “latina” aux États-Unis.

Depuis le milieu des années 2010, de riches Latino-Américains, en particulier vénézuéliens, choisissent de s'installer dans la capitale espagnole. En parallèle, des centaines de milliers de leurs compatriotes moins privilégiés viennent occuper les emplois les plus précaires ou monter des petits commerces. Parmi eux, de potentiels futurs électeurs que la droite cherche à séduire.