Eminement spécialisé, le marché des scanners n'en propose pas moins une offre fournie, puisque nous avons recensé pas moins de 63 modèles.

Marché très spécialisé, la numérisation patrimoniale exige des matériels dédiés comme les scanners de livres.

Effective depuis plus de deux ans, l'obligation pour les banques de recourir à l'échange d'image du chèque (EIC) a bouleversé le monde des scanners.

Connu jusqu'à présent pour son offre en tant que revendeur de scanner, Spigraph se positionne désormais aussi comme un véritable intégrateur de solutions de capture et de gestion documentaire.

Une douzaine de constructeurs affichant une cinquantaine de machines, des vitesses de numérisation variant de 50 à plus de 200 ppm (pages par minute) et des tarifs allant de 5 000 euros à plus de 100 000 euros : le choix d'un scanner de production réside dans un processus de réflexion complexe.

A l'heure où la numérisation gagne inexorablement du terrain, le choix d'un scanner ne peut plus reposer sur le hasard. Surtout lorsque l'investissement atteint facilement plusieurs dizaines de milliers d'euros.

Nombreux sont encore les contextes de haute volumétrie de documents papier entrants. Ils doivent s'équiper, ou rééquiper, en scanners pour numériser et alimenter en flux continu une activité soucieuse de délais de traitement.

Dans une économie en cours de dématérialisation, le scanner est l'outil obligé grâce auquel les documents papier rejoignent les flux numériques. Et ceci est vrai pour toutes les volumétries documentaires. Laissons pour une fois de côté les aspects quantitatifs des scanners de production et qualitatifs des scanners patrimoniaux pour dresser un comparatif de l'offre du marché s'adressant aux volumétries et aux budgets modestes.

Protéger des ouvrages et permettre un accès en ligne, disposer en numérique d'un contenu écrit sur papier : derrière la nécessité de numériser, les motivations d'un achat de scanner répondent à des projets divers. L'offre est assez large poru correspondre à chaque besoin.

Les scanners de production - bas, moyens et hauts volumes - sont nombreux. Très nombreux. Mais tous ont leur utilité et se distinguent par leur vitesse de numérisation, leurs fonctionnalités de préparation des documents, leur ergonomie ...

Après s'être longtemps concentrés sur la vitesse de numérisation à la minute, les fabricants de scanners misent, pour se démarquer, sur la robustesse des équipements et des services.

Depuis quelques années, les scanners de livre fleurissent dans les bibliothèques et les services d'archives pour un usage collectif aussi courant qu'une machine à café : le libre-service.