Défaites présidentielles, guerre Copé-Fillon, affaire Bygmalion... Le très coûteux siège des Républicains ne leur a pas porté chance. A vendre !

Les Républicains et les centristes renforcent leur majorité, alors que le parti d'Emmanuel Macron ne réalise pas la percée attendue.

Largement élu, le nouveau président du parti Les Républicains va devoir démontrer sa capacité à rassembler.

L'ancien commissaire européen, plusieurs fois ministre, s'engage dans la primaire des Républicains au côté de son cadet, et témoigne d'une "rupture" avec Nicolas Sarkozy. Il commente aussi pour "L'Express" la crise grecque.

Au soir du premier tour de la primaire, les proches de l'ancien président se sont ralliés comme un seul homme à François Fillon, l'éternel "collaborateur" de leur champion. Revanchard, le candidat à la présidentielle prend un malin plaisir à les écarter des postes clés de son staff de campagne.

Nicolas Sarkozy vient de changer le nom de l'UMP pour « Les Républicains ». Ce nom pose problème, car la république appartient à tous, que l'on soit de gauche ou de droite, car la république n'appartient pas à un camp, elle nous permet de vivre ensemble démocratiquement.

La fâcheuse tendance du chef des Républicains à chasser sur les terres du FN pourrait avoir raison de l'unité de la droite et, du coup, le priver de l'investiture pour la présidentielle de 2017.

Les Républicains se préparent à choisir leur candidat à l'élection présidentielle. Le round final aura lieu en novembre 2016 mais, d'ici là, les coups vont pleuvoir entre les prétendants.

Comme Nadine Morano il y a quelques mois, Nathalie Kosciusko Morizet se lance dans la course à l'investiture. Mais beaucoup, chez Les Républicains, doutent qu'elles arrivent à rassembler les parrainages nécessaires. La parité, ça va bien cinq minutes...

L'ex-conseiller de Nicolas Sarkozy à l'Elysée envisagerait de se lancer dans la bataille de la primaire, au risque de briser ses liens avec l'ancien président. Mais avec quel projet ?

Des partisans de La Manif pour tous à Denis Tillinac en passant par Renaud Camus, le maire de Béziers veut réunir tous ceux qui se situent à la droite des Républicains.Avec la bénédiction du FN.

Si plus personne ne doute que l'ancien président se jette dans la mêlée, les résultats de notre sondage exclusif ont de quoi faire trembler le clan sarkoziste. Quelles que soient les configurations, il perd la partie, et de loin. Pourtant, lui et les siens continuent d'y croire.