Les organismes de la zone littorale soumise aux marées affrontent des variations considérables de leurs conditions de vie selon que la mer est haute ou basse. Le plus grand inventaire de ces espèces jamais mené en France commence : c'est l'occasion d'examiner les stratégies qu'elles déploient pour survivre.

Contrairement à une idée reçue, les marées ne sont pas des phénomènes périodiques.

Au bord de la mer, on ne s'ennuie jamais ! Il y a les baignades bien sûr, les chateaux de sable ou le volley-ball... Mais il existe aussi un terrain d'observations passionnant : la zone de balancement des marées.

Les crustacés et les poissons ne sont pas les seuls animaux du littoral qui méritent notre attention. La zone de balancement des marées ou estran est également un site exceptionnel pour le développement d'une multitude de mollusques, ceux qu'on appelle communément les "coquillages". C'est donc le terrain de jeu idéal pour récolter de délicieux bivalves et observer toutes sortes de gastéropodes. Voici comment faire.

Les planètes et leurs satellites s'attirent mutuellement, contraints par les règles du jeu complexe de la mécanique céleste. Grandes marées terrestres, volcans de Io, geysers de Triton et même anneaux de Saturne : autant de manifestations spectaculaires de la danse gravitationnelle des mondes.

Flux et reflux : inlassablement, la mer effectue son va-et-vient. Bien qu'asservie à l'influence terrestre, la Lune dicte cependant à sa geôlière le rythme des marées.

Les plus forts coefficients de marée en 2003 sont prévus pour le 20 mars, le 18 avril et le 26 octobre.