Jay McInerney, chantre des illusions perdues, publie un recueil de nouvelles.

Plus rien ne sera comme avant, a-t-on beaucoup dit après les attentats de New York. "The Good Life" réfute cette idée.

Avec Moi tout craché, Jay McInerney offre des nouvelles new-yorkaises dans la lignée de Carver. Et une vision caustique de l'amour.

Avec "Les Jours enfuis" - troisième volet de sa saga new-yorkaise - l'auteur continue de disséquer la vie moderne avec cynisme et mordant, en commençant par la relation de couple.

Depuis près de trente-cinq ans, il apparaît comme le plus fitzgeraldien et trendy des écrivains new-yorkais. Alors que paraît son nouveau roman, "Les Jours enfuis", portrait de Jay McInerney, l'écrivain d'un Manhattan d'écrivains, de sexe et d'argent.

Dix ans après "La Belle vie", Jay McInerney renoue avec le monde urbain, artificiel et pétri d'addictions qu'est le New York d'aujourd'hui.

L'Américain Jay McInerney plonge dans l'univers dérisoire de la mode new-yorkaise. Drôle et pathétique.

Avec "Trente ans et des poussières", Jay McInerney brosse un portrait glacé de la génération des golden boys. Un monde que l'auteur connaît bien...

Le "nouveau Fizgerald" américain parle de Bush et du 11 septembre, de Schwarzenegger et de Bret Easton Ellis, de la coke et de "La Cousine Bette".

L'écrivain ethnologue, chouchou des bobos new-yorkais, poursuit sa chronique crépusculaire sur les cendres des tours jumelles. Façon roman-photo.