Si la radioactivité en mer autour de la centrale nucléaire s'est stabilisée, elle s'accumule dans les organismes vivants, notamment les poissons et les algues.

Avant l'accident de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima Daï-ichi, en mars 2011, jamais une pollution radioactive de cette ampleur n'avait atteint directement le milieu marin. Ces rejets ont été dispersés rapidement et sur de longues distances par les courants de l'océan Pacifique. Mais une contamination résiduelle en provenance de la centrale et des territoires touchés par les dépôts radioactifs subsiste, marquant les eaux côtières, la faune et la flore marines.