Pas très loin de Kraftwerk, New Order ou Daft Punk, les Anglais de Metronomy distillent une electro-pop entre robotique et fragilité : De la Dance-music avec une gueule de bois, dit ce groupe schizophrène

Avec son groupe Metronomy, l'Anglais Joseph Mount signe un des grands disques de 2011. ″The English Riviera″ écrit la pop du futur.

Ils ont sauvé l'été, lui apportant chaleur et lumière. En concert à Paris au festival ″We Love Green″ avant une tournée en France, Metronomy conclut en beauté une année marquée par l'album ″The English Riviera″. L'un des événements d'une rentrée musicale riche et variée.

Plus les albums passent, plus l'Anglais Joseph Mount opère une remontée dans le temps. La preuve avec un quatrième "Love Letters" où l'électronique est délaissée au profit de chansons hippies enregistrées sur bandes.

Propulsé au firmement des charts depuis son précédent album, le quatuor anglais livre avec "Love Letters" un opus émouvant, à la production dénudée.

Avant un album dansant, excentrique et joyeux et une tournée française, Metronomy nous a longuement reçus. L'occasion de percer le mystère de ce groupe à la fois populaire et expérimental. Une utopie.