David Clarinval, chef de file au Parlement fédéral, et Corentin de Salle, directeur du Centre Jean Gol, sont des personnalités influentes au MR. De 2012 à 2014, leur route a croisé celle des climatosceptiques belges. De l'histoire ancienne ?

Focus sur un parti francophone en lice pour le scrutin du 26 mai 2019. Cette semaine, le Mouvement réformateur

La campagne pour la présidence du MR n’a pas encore officiellement commencé. Mais les tensions sont déjà à leur comble, en particulier entre les deux favoris, Georges-Louis Bouchez, promis à la victoire, et Denis Ducarme.

L'orange bleue wallonne met fin à trente ans de domination socialiste. Mais elle rompt avec la solidarité francophone. Et risque de ne pas surmonter la défiance citoyenne.

Pris, à cause d'Alain Destexhe et d'Armand De Decker, dans de peu reluisantes affaires, le MR bruxellois a raté l'occasion d'entrer dans la majorité bruxelloise. Parce qu'il le voulait bien. Portrait d'une fédération puissante mais en souffrance;

Ferraillant contre la corruption au sein du Conseil de l'Europe, le député néerlandais Pieter Omtzigt ne décolère pas contre Alain Destexhe et son asbl financée par des fonds venus d'Azerbaïjan.

Les libéraux francophones ont-ils perdu leur âme en s'associant avec les flamands ? La réponse est nuancée. Sur le terrain socioéconomique, le parti de Charles Michel reste globalement libéral. Sur les questions de société, il est devenu plutôt conservateur.

Il dirige le parti sans en avoir l'air, mais laisse attribuer sa défaite aux élections communales à Didiers Reynders, ou à l'équipe de son présidant Olivier Castel... ou à la RTBF. Le Premier ministre, qui s'est fait très discret, a plutôt été un handicap pour son parti. Sera-t-il un atout pour la campagne électorale ?

Le chef de groupe du MR de Schaerbeek; Georges Verzin, n'y va pas de main morte. Il demande que Didier Reynders démissionne de la présidence de la régionale MR à Bruxelles.