Ses livres, des récits intimes mêlés de théorie critique, en ont fait la nouvelle figure de proue de la non-fiction américaine. Après avoir mené l'enquête sur le meurtre de sa tante, la poète et essayiste Maggie Nelson fait entendre sa voix singulière dans "Les Argonautes", une histoire d'amour fou où elle questionne l'identité, la famille et la maternité.

Dans "Les Argonautes", Maggie Nelson s'inspire de sa vie avec son conjoint transgenre pour déconstruire la norme hétérosexuelle. Entre essai et autofiction.

Trois filles phénoménales bousculent en trois livres les vieux schémas patriarcaux. Décapant.

L'Américaine Maggie Nelson et l'artiste Kae Tempest sont des voix majeures de la littérature et de la culture queer. "L'Obs" les a fait dialoguer pour la première fois. Entretien exclusif.

Maggie Nelson, nouvelle star outre-atlantique, est depuis toujours hantée par sa tante, assassinée en 1969. Hannah Nordhaus, elle, descend du célèbre "fantôme de Santa Fe". Deux obsessions, deux destins.

La journaliste française publie "L'Inconnu de la poste", la poétesse américaine, "Jane, un meurtre". Deux livres sur des féminicides qui repoussent les limites de leur genre - le reportage, la poésie -, et proposent un autre regard sur le fait divers.

Genre, sexualité, maternité... A 44 ans, cette poétesse et essayiste américaine se raconte dans un essai hors normes, qui l'a propulsée sur le devant de la scène littéraire. Rencontre.